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#PortraitCHB #Médecin #Réanimation
La Dre Cécilia Rodriguez est médecin réanimatrice au Centre Hospitalier de Béziers depuis 2003.
Après des études à Montpellier et un internat à Saint-Etienne, elle a souhaité retrouver ses racines et s’installer dans la région.
Assistante puis praticienne hospitalier au Centre Hospitalier de Béziers, sa formation lui donnait le choix de s’orienter vers l’anesthésie ou la réanimation. Elle a choisi cette dernière spécialité car la réanimation de Béziers est à la fois médicale mais aussi chirurgicale et l’équipe dans laquelle elle a été accueillie l’a mise en confiance.
« Nos techniques ont énormément évolué depuis mes débuts, en raison principalement des progrès matériels. Je pense principalement à l'échographie qui permet un diagnostic immédiat et non invasif au lit du patient, à la dialyse, mais aussi aux respirateurs artificiels, dont nous avons tous entendu parler pendant la crise du Covid-19. »
Quand on lui demande comment elle a vécu cette période encore d’actualité, dans un soupir elle répond « la découverte d’une nouvelle pathologie et de sa contagiosité, les contraintes de protection maximale et les protocoles qui évoluaient chaque jour, en ont fait une période très anxiogène, surtout au début. L’équipe a dû s’adapter en permanence. »
Pour définir « mon métier, je dirais qu’il est d’une richesse inouïe mais que c’est au prix de lourds sacrifices personnels, par la disponibilité qu’il nécessite et la lourdeur des responsabilités qu’il engendre. »
La Dre Cécilia Rodriguez est médecin réanimatrice au Centre Hospitalier de Béziers depuis 2003.
Après des études à Montpellier et un internat à Saint-Etienne, elle a souhaité retrouver ses racines et s’installer dans la région.
Assistante puis praticienne hospitalier au Centre Hospitalier de Béziers, sa formation lui donnait le choix de s’orienter vers l’anesthésie ou la réanimation. Elle a choisi cette dernière spécialité car la réanimation de Béziers est à la fois médicale mais aussi chirurgicale et l’équipe dans laquelle elle a été accueillie l’a mise en confiance.
« Nos techniques ont énormément évolué depuis mes débuts, en raison principalement des progrès matériels. Je pense principalement à l'échographie qui permet un diagnostic immédiat et non invasif au lit du patient, à la dialyse, mais aussi aux respirateurs artificiels, dont nous avons tous entendu parler pendant la crise du Covid-19. »
Quand on lui demande comment elle a vécu cette période encore d’actualité, dans un soupir elle répond « la découverte d’une nouvelle pathologie et de sa contagiosité, les contraintes de protection maximale et les protocoles qui évoluaient chaque jour, en ont fait une période très anxiogène, surtout au début. L’équipe a dû s’adapter en permanence. »
Pour définir « mon métier, je dirais qu’il est d’une richesse inouïe mais que c’est au prix de lourds sacrifices personnels, par la disponibilité qu’il nécessite et la lourdeur des responsabilités qu’il engendre. »